mercredi 5 septembre 2007

Un soupçon de nouvelles du monde en 2096...

...Ou un bref résumé de qui c'est quoi à ce moment!

Le monde est prospère, tiré par l’industrie aérospatiale et les miracles de la robotique.
Les recherches poussées des années 30 ont aboutie à l’aube des années 40 à une nouvelle propulsion atomique ; puissante et économe. L’homme voit enfin l’espace à portée de main. Et en premiers lieux la Lune et Mars.
Mars est la plus grande réserve de métaux premiers dés les années 50.
La lune est devenu le nouveau quartier résidentiel pour les fortunes du Monde à compter des années 70.

Les rapports Nord Sud se sont un peu adoucis et léèrement rééquilibrés, grâce à la puissance robotique. Les robots ménagers chinois et indien ont débarqué à partir des années 40 avec un coût défiant toute concurrence. Les Intelligences Artificielles ont été très restreintes dans les pays occidentaux pour des questions éthiques.

Gouffre dans le quelles les puissances du Sud se sont jetées corps et âmes, recrutant toute la matière grise à travers le monde « avancé », payant sous forme de pétro-dollars ou de diamants de sang. De nombreux scientifiques en mal de reconnaissance ou interdit de travailler sur certains domaines ont vu la possibilité de continuer les recherches sur les Intelligences Artificielles. Bien rémunérés, des étudiants à disposition ayant soif de réussite et disposant de cartes blanches pour monter leurs laboratoires expérimentaux, la robotique fit un bond spectaculaire durant 15 ans. Ainsi sont nées les "Oasis Technologiques", sortes d'enclaves hyper protégées, où les scientifiques disposent de tous les facteurs pour mener à bien leurs travaux (facteurs financiers humain, financiers, techniques). Ces Oasis comprennent des unités de recherches pouvant aller jusqu'à 5 000 personnes. Même si la misère règne toujours en Afrique, l'existence et la réussite de ces O.T. commencent à rejaillir doucement sur l'économie.

Les IA africaines sont aujourd’hui réputées pour leur fiabilité, leur miniaturisation, mais surtout leur adaptabilité à un maximum de systèmes informatiques et mécaniques. Les pays occidentaux n’arrivent pas même aujourd’hui à rattraper leur retard sur les pays africains.

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